Enfin le professeur des universités, spécialiste en management et GRH, a ajouté : « Il y’a un grand potentiel de développement de nouvelles entreprises, les salariés algériens ont des qualités réelles, mais ils ont besoin de développer davantage leurs connaissances professionnelles. Je pense qu’il faut contrôler plus les résultats que les procédures. J’ai confiance dans le potentiel des algériens, il y’a une jeune génération d’investisseurs, qui a vraiment envie de construire des entreprises modernes, avec une grande recherche d’efficacité et de qualité ».